Après des années régies par une vision binaire et ultra genrée, la parfumerie semble désormais se déployer sous le prisme de la mixité et de l’écologie. Dans le paysage de cette nouvelle haute parfumerie, Brume Orpin, lancée il y a quelques mois offre cinq parfums inspirés par la nature et composés de matières biodégradables et sourcées.

Dans le sillage d’un marché de la haute parfumerie en ébullition, Brume Orpin se démarque par son engagement et un sens du storytelling. Fondée par Tiphaine Cogez Cousseau, nez passionnée qui a su mettre en flacon son goût pour le parfum, son expertise du luxe et sa conscience écologique, Brume Orpin tient son nom de ces fleurs que sa fondatrice cueillait dans le jardin de sa grand-mère. Passée par les maisons Rochas, Balmain ou encore Francis Kurkdjian, Tiphaine Cogez Cousseau prône un luxe sobre mais sophistiqué, porté par le bon sens : sourcer les composants, préférer des matières biodégradables, etc.

Après quatre ans de recherche, Tiphaine Cogez Cousseau a composé une palette de matières premières 100% biodégradables et sourcées en Europe ou autour du bassin méditerranéen. Theor, Odosman, Cade, Odenui ou encore Oratoa, chacun des cinq parfums créés en collaboration avec le nez Leslie Gauthier, sont un récit, voire une “histoire théâtrale”. Effectivement, la valeur émotionnelle est aussi l’un des fondements de la maison : “J’ai façonné Brume Orpin comme une ode à la simplicité élégante, où chaque détail, chaque geste, chaque matière, raconte une histoire. Une histoire de respect, d’engagement, et de beauté intemporelle. C’est une Maison où l’on prend le temps de créer, de se souvenir, et de célébrer ce qui compte vraiment.”, comme le résume Tiphaine Cogez Cousseau. C’est ainsi qu’Odosman, parfum poudré aux accents fleuris, évoque un tableau parisien, ses jardins et son architecture ou qu’Oratoa évoque subtilement une étreinte sous un ciel étoilé.

Outre les formules issues de la “chimie vertes”, les flacons aux lignes minimalistes et précieuses sont un autre étendard de l’engagement de Brume Orpin. Les coffrets en liège expansé compostables, l’utilisation de la galalithe, une matière biodégradable fabriquée à partir de protéines de lait, des flacons en verre recyclé et rechargeables, gravés sans additifs chimiques ; ou encore une peinture Algo Paint, biosourcée et conçue à partir d’algues françaises.

Brume Orpin est désormais disponible en exclusivité au 1er étage du Printemps de la beauté.

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