4. Un engagement écologique et politique
Fermement engagé dans la lutte pour la protection des océans, cette année, le festival s’est associé à l’association Bloom. Mis en place avec sa fondatrice, Claire Nouvian, le projet “Mini Filma” était un appel à mini-films d’une minute à réaliser sur la thématique des océans afin de concentrer les enjeux écologiques et le regard de la jeune génération de ces enjeux à travers le cinéma. Par ailleurs, l’état du monde actuel n’a pas été oublié d’être mentionné lors du discours de clôture, que ce soit par Jérôme Pulis, cofondateur et président du festival et Sandrine Brauer, déléguée générale ou par les membres du jury, toutes deux rappelant l’importance du cinéma comme outil de récit pour imaginer un monde meilleur, représenter les luttes et les minorités, bref un engagement qu’il soit frontal et politique, réfléchi ou poétique.