S’il y avait un invité omniprésent cette saison, c’était sans conteste le masculin. Qu’il s’agisse d’une influence ou d’un jeu, comme au défilé Viktor & Rolf, où des immenses costumes façon « power dressing » se transformaient en tenues pluis fluides à travers l’intervention des couturiers, ou d’un casting aux genres multiples, cette haute couture n’était plus simplement féminine. Pierpaolo Piccioli, comme d’autres, soulignait l’arrivée d’une clientèle couture masculine, et revendiquait chez Valentino robes et costumes pour tous. Chez Balenciaga aussi, la couture était multiple et destinée à tous.tes, qu’il s’agisse de silhouettes près du corps ou de vastes robes à crinolines. Tout comme chez JPG X Olivier Rousteing ou Elie Saab qui ont aussi fait défiler des hommes sur le catwalk.