En elle-même, la collection présentait dans sa première partie une nouvelle ligne baptisée “Garde-Robe”. Moins exclusive que la couture mais plus élevée que le prêt-à-porter, Garde-Robe mise sur les matières luxueuses et les finitions pointues, avec un véritable ADN parisien. Réinventées avec de nouvelles proportions généreuses à la Demna – et en majorité en noir -, les silhouettes étaient composées de chemisiers aux épaules puissantes et nœuds lavallière, de jupes et de pardessus en croco gaufré, de trenchs soyeux, de smokings reconstitués et de longues robes moulantes. Du Balenciaga tout craché. Dans la deuxième partie, on a eu droit au dévoilement de la collab avec adidas (survêt’, sacs, accessoires, tracksuits etc). Après Gucci (une autre marque du groupe Kering), l’équipementier sportif a donc eu droit à un nouveau petit partenariat avec une maison de luxe (d’ici à ce que François Pinault le rachète et l’ajoute à son conglomérat de marques , il n’y a qu’un pas qui semble déjà avoir été franchi).