À l’approche de leur premier défilé womenswear pour Loewe le 3 octobre à la Fashion Week de Paris, Jack McCollough et Lazaro Hernandez, nouveau duo à la tête de la direction artistique de la maison, ont dévoilé une campagne teaser qui met en lumière de jeunes talents émergents.

Quelques gouttes d’eau et éclaboussures autour d’une piscine, des serviettes, des fruits, des fleurs ou encore de la peau et des cheveux mouillé·e·s agrémentés de derrières bien moulées dans des maillots de bain : la nouvelle campagne de Loewe pour annoncer et teaser le premier défilé womenswear SS26 de l’ère Jack McCollough et Lazaro Hernandez sent bon le “wet summer” dans tous les sens du terme.

Ce teaser qui, selon les deux créateurs américains “se veut un geste inaugural, le début d’un nouveau dialogue”, transpire littéralement “la vitalité et une forme de matérialité ancrées dans l’artisanat, fondamentales pour la maison, une luminosité et une sensualité inhérentes à ses racines espagnoles, et, en fin de compte, un optimisme et un esprit que nous considérons comme profondément personnels en tant qu’individus”, ont ajouté Jack McCollough et Lazaro Hernandez.

Et histoire d’ancrer la marque dans son temps et dans cette nouvelle ère, la campagne a choisi de mettre en avant “des personnalités dont la fraîcheur et la qualité naissante évoquent l’idée de nouveaux commencements, quelque chose d’espérant et en devenir”. Résultat, on y retrouve toute une série de jeunes talents émergents (il·elle·s ont tou·te·s moins de 35 ans) comprenant l’actrice Erin Kellyman, attendue dans “Eleanor the Great”, le premier film réalisé par Scarlett Johansson ; l’actrice et réalisatrice Eva Victor, saluée pour “Sorry, Baby”, présenté en avant-première au festival de Sundance plus tôt cette année ; l’actrice Megan Northam, nommée aux César pour son rôle dans le film “Rabia” ; l’acteur Orlando Norman, actuellement à l’affiche de la saison 2 de “Silo” sur Apple TV+ ; ou encore l’acteur canadien Théodore Pellerin, révélé par “Juste la fin du monde” de Xavier Dolan. Bref, ça met l’eau à la bouche.